L'OMS (Organisation mondiale de la santé) a lancé la toute première célébration annuelle de la Journée mondiale de la santé le 7 avril 1954.
Depuis lors, la Journée mondiale de la santé a centré ses campagnes sur le fait d'attirer l'attention sur les problèmes de santé qui concernent les populations du monde entier. Par conséquent, l'accent de cette année repose sur la demande urgente d'un déplacement immédiat de l'attention du public de l'intérêt économique vers les problèmes de santé liés au réchauffement climatique. De même, l'OMS nous demande de réinventer un monde juste, où les pays riches ne sont pas les gardiens des ressources essentielles à la vie, comme l'eau, la nourriture et l'air pur. Nous devons créer une économie axée sur le bien-être humain et donner aux personnes concernées le contrôle de leur santé, ainsi que de la santé de cette planète maintenant. Selon les estimations de l'OMS, plus de 13 millions de personnes meurent chaque année à cause de causes environnementales qui auraient pu être évitées.
Puisqu'Indosole consiste à réaffecter des ressources déjà existantes, nous voulions saisir l'occasion de sensibiliser à ce sujet et de mettre en évidence la mission d'Indosole. L'OMS a clairement indiqué qu'avec un choquant de 90% des humains dans le monde, chaque personne sur terre respire un air malsain, ce qui est le résultat de la combustion de combustibles fossiles dans les usines, les véhicules, etc. Chaque année, plus de 1,5 milliard de pneus sont brûlés dans le développement parce qu'ils sont une source d'énergie bon marché et efficace, libérant des toxines dans l'air qui ont un impact négatif grave sur la santé humaine et sur l'environnement. Des études ont montré qu'en fonction de la durée et de l'intensité de l'exposition, des risques tels qu'une irritation de la peau, des muqueuses oculaires ou des effets respiratoires peuvent survenir. Ces fumées peuvent également causer des dommages au système nerveux central, la dépression et le cancer. Les pneus qui ne sont pas brûlés finissent dans des décharges, où ils ne se décomposeront pas pendant des milliers d'années et deviendront des lieux de reproduction pour les moustiques qui contractent des maladies menaçantes comme le paludisme. L'OMS s'est déjà rendu compte, avec les températures terrestres en constante augmentation, du risque croissant de propagation des moustiques plus loin et plus rapidement que jamais auparavant.